30 août 2007
Jardin
Je sais que tu es là, pas loin, je sens ton souffle sur moi... Même si tu ne le vois pas... Nos vies se sont croisées et tout à commencer... Comment faire pour t'oublier, tu m'as tellement apporté... Dans l'ombre du passé, je reste à toi attaché... Parfois j'ai des nouvelles, et mon coeur est comblé... Il nous reste l'espoir d'un jour nous retrouvés, pour rester à jamais lier... Le temps efface parfois l'amitié, mais jamais les sentiments cachés... Le jardin ou je vis reste fermé, les fleurs y jaillissent pourtant, d'un bleu éclatant... Leurs parfums me tournent la tête de leur douceur, et je m'endors souvent avec ta chaleur.
Dybis
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